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de tristesse que je suis revenu sur des jours déjà loin de moi, et qui apportaient tant de jouissances à mon esprit avide de nouveautés, lorsque je touchais de mes mains les anciens monuments de la vieille Europe, ces monuments qui marquent sur son sol les progrès de cette haute civilisation à laquelle l’Amérique doit tout ce qu’elle est, et qui a fait d’un vaste continent couvert de forêts et d’animaux sauvages, dans trois siècles à peine, l’une des plus belles et des plus riches contrées de l’univers.


 


FIN