Cette page a été validée par deux contributeurs.
384
six semaines dans un phare.
— Il n’y avait qu’un second maître, il se nommait d’un nom anglais.
— Vous y étiez donc, dit le Breton en souriant.
— Oui, et je te reconnais à présent…
— Il y a longtemps que je vous avais reconnu, moi.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/cd/Garnier_-_Six_semaines_dans_un_phare%2C_1862.djvu/page489-350px-Garnier_-_Six_semaines_dans_un_phare%2C_1862.djvu.jpg)
Je le ramenai à moi presque évanoui.
— Et tu ne le disais pas ? Et tu te laissais agoniser de sottises ?
En même temps qu’il disait ces paroles, Clinfoc sautait au cou du Breton qui lui rendait son accolade sans rancune pour les mauvais traitements passés.
— Qu’est-ce que cela veut dire ? demanda Paul, à son oncle.
— Le récit d’Yvonnec et celui que voulait faire Clinfoc n’en