Page:Gaskell Craik - Trois histoires d amour.djvu/110

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

se glissait hors de la chambre à ma suite, quand madame Rochdale nous rappela.

— Attendez ; à l’heure qu’il est, il ne faut pas que la… la femme de mon fils sorte seule. Marthe, priez votre père de la ramener chez elle.

La fille du boulanger se retourna à la porte et dit :

— Merci, madame ; mais cette fois, elle ne fit pas la révérence.

Madame Rochdale avait donc trouvé sa belle-fille !