coup la plus commode est la table Barkérienne qui est aussi annexée à l’excellent ouvrage du célèbre Olbers (Abhandlung über die leichteste und bequemste Methode die Bahn eines Cometen zu berechnen : Weimar, 1797). Cette table contient, sous le nom de mouvement moyen, la valeur de l’expression pour toutes les valeurs de l’anomalie vraie comprises depuis jusqu’à et de cinq en cinq minutes. Si donc on demande le temps qui correspond à une anomalie vraie , il faudra diviser le mouvement moyen extrait de la table, d’après l’argument , par quantité que l’on nomme le mouvement moyen diurne ; si, au contraire, le temps étant donné, on veut calculer l’anomalie vraie, on devra multiplier par ce temps exprimé en jours, afin d’avoir le mouvement moyen, à l’aide duquel on extraira de la table l’anomalie correspondante. Il est au reste évident, que pour une valeur négative de le mouvement moyen et le temps ont la même valeur que pour positif, mais doivent être pris négativement ; la même table peut donc servir aussi bien aux anomalies négatives qu’aux anomalies positives. Si à la place de nous préférons employer la distance périhélie , le mouvement moyen diurne sera exprimé par où le facteur constant dont le logarithme est L’anomalie vraie étant déterminée, on calculera le rayon vecteur par la formule, déjà considérée,
Si toutes les quantités , , sont traitées comme variables, en différentiant l’équation