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LIVRE I, SECTION II.
autres situés par 0° et 90° d’ascension droite ; soient respectivement
les distances à ces plans.
Si maintenant les distances du lieu héliocentrique dans la sphère
céleste aux points sont en outre respectivement désignées par
on aura 14° 52′ 12,42″, et les quantités qui,
dans l’art. 53, sont désignées par le seront ici par
De cette manière, on trouve par les formules données
dans ce paragraphe :
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9,9687197 |
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9,5638038
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9,3346380 |
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9,9393319
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d’où 00248° 55′ 22,97″ |
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d’où 00158° 05′ 54,97″
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9,9987923 |
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9,9920848
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Nous avons donc
dans lesquelles
.
Une autre solution du problème traité ici se trouve dans « Von Zach’s Monatliche Correspondenz, » B. IX, S. 385.
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La distance d’un corps céleste à un plan quelconque passant par le
Soleil pourra donc être réduite à la forme , en désignant par l’anomalie vraie ; et sera le sinus de l’inclinaison de
l’orbite sur ce plan, la distance du périhélie au nœud ascendant
de l’orbite dans le même plan. Tant que la situation du plan de
l’orbite et de la ligne des apsides dans ce plan, et aussi la position
du plan auquel les distances sont rapportées peuvent être considérées comme constantes, et seront aussi constants. Cependant
cette méthode sera fréquemment mise en usage dans tel cas, où au
moins la troisième supposition ne sera pas permise, quoique les perturbations qui affectent toujours quelque peu la première et la seconde
hypothèse, soient négligées. Cela arrivera toutes les fois que les distances sont rapportées à l’équateur ou à un plan coupant l’équateur