Mi. avait proposé demure ; G. juinture. Venise VII donne : E le destrier de ci qu’en la janteure.
Vers 1334. — Pred. O. V. la note du vers 2.
Vers 1336. — Avrez. Mu.
Vers 1337. — Oi. O. V. la note du vers 1210.
Vers 1342. — Li. O. Au cas régime, il faut le.
Vers 1343. — Lire sanglent. V. la note du vers 1079. ═ La n’est point dans le manuscrit.
Vers 1345. — Oliver. O. V. la note du vers 176 et celle du v. 1500.
Vers 1347. — Lyon : Fierent et chaplent.
Vers 1349. — L’Arcevesque. O. Pour le cas sujet, il faut un s.
Vers 1351. — Oliver. V. la note du vers 176 et celle du v. 1500. ═ Estor. O. V. la note du vers 30.
Vers 1353. — Fauseron. Lyon. Le Ms. d’O. ne porte que Malun.
Vers 1354. — Flur. O. Cf. le vers 1276, où flurs est avec raison au pluriel.
Vers 1355. — Andous. O. Mauvaise leçon. V. le Glossaire. Nous y avons établi que la meilleure forme est ambedui, ambesdous ; puis, ambdui, ambsdous ; puis enfin : amdui, amdous. Nous avons choisi la forme la plus correcte, et celle qui peut en même temps se prêter le mieux à la mesure du vers. ═ Remarquer encore qu’amdous, ambsdous rime avec des mots en u : d’où l’on peut conclure rigoureusement que, dans un grand nombre de cas, l’u se prononçait ou. ═ Lyon : For de la teste li a les ieuz sachiez.
Vers 1356. — [Des] uz. O. Les trois premières lettres sont absentes. ═ E la cervele li abat à ses piez, Lyon.
Vers 1357. — Entre VII. C. Mu. Od tut nous paraît une bonne leçon. ═ Au lieu de mort, le manuscrit d’Oxford donne e cor, et tot.
Vers 1358. — Pois. V. la note du vers 656.
Vers 1359. — Au lieu d’Esturgus, Lyon donne Maucuidanz.
Vers 1359. — Josqu’as. O. V. la note du v. 510. ═ Poinz. O. Voir la note du v. 415.
Vers 1360. — Vos. O.
Vers 1362. — Valor. O. V. la note du v. 30.
Vers 1363. — Halteclere. Voici, en quelques propositions, l’histoire de l’épée d’Olivier : a. Suivant l’auteur de Fierabras (v. 655), Hauteclère est l’œuvre de Galant. b. La version provençale du même poëme l’attribue à Munificans. (Pueis fe Munificas,... Autaclara e Joyosa.) c. Elle fut, avec Courtain et Durendal, essayée sur le perron d’acier qui se trouvait à Aix, devant le Palais du roi (Renaus de Montauban, édition Michelant, p. 210), et elle résista merveilleusement à cette épreuve. — d. C’est dans Girars de Viane que son histoire est racontée le plus