Vers 1734. — Vos. O. ═ Ert. V. la note du vers 1500.
Vers 1735. — Oi. O. V. la note du vers 1210.
Vers 1736. — Vespre. Mu. Le manuscrit porte très-distinctement vespere, que nous avons précieusement conservé ; nous tenons compte de l’écriture, sans aborder la question de prononciation. ═ Ert. V. la note du vers 1500. ═ Gref. O. Pour le cas sujet, griefs.
Vers 1737. — Arcevesques. Les quatre dernières lettres ne sont pas dans O. ═ Lire en assonances, à la fin du vers de cette laisse, mier, Olivier, mestier, mielz, vengier, detrenchiez, sumiers, pitiet, mustiers, chien, bien, O.
Vers 1740. — Rollanz. Mu. V. notre note du vers 15. ═ Vos. O.
Vers 1741. — Vos. O. ═ Cuntraliez. O. La forme la plus étymologique est donnée quatre vers plus haut. (Vers 1737.)
Vers 1742. — Nos. O. V. la note du vers 17. ═ Avreit. Mu. V. la note du vers 38.
Vers 1745. — Liez. O. Pour le cas sujet du pluriel, il faut liet.
Vers 1747. — Nos. O.
Vers 1748. — Nos. O.
Vers 1752. — Bien. O. V. la note du vers 1500.
Vers 1753. — Olifan. O. V. la note du vers 1059.
Vers 1757. — Karles. O. V. la note du vers 94.
Vers 1761. — Le manuscrit porte ahans, par erreur du scribe.
Vers 1762. — Dulor. O. V. la note du vers 489. ═ Olifan. O. V. la note du vers 1059.
Vers 1763. — Cler. O. Pour le cas sujet, il faut clers.
Vers 1764. — Rumpant. O. Pour la même raison, il faut rumpanz.
Vers 1765. — Grant. G. O. Même remarque.
Vers 1766. — Passant. O. ═ Quant à Karles, O., voir la note du vers 94.
Vers 1767. — Naimes le duc. O. On pourrait retrancher les deux derniers mots pour ramener cet alexandrin à un décasyllabe. ═ Le duc. O. À cause du cas sujet, il faut li dux. ═ Oïd. O. V. la note du vers 2.
Vers 1769. — Les trois premières lettres de cumbatant ont été ajoutées postérieurement.
Vers 1770. — Il en est de même de il, qui se trouve après est, dans O.
Vers 1771. — Vus n’est pas dans le manuscrit. ═ Veilz. O. Voir la note du vers 1500, et lire vielz.
Vers 1773. — Orgoill. O. V. la note du vers 292.
Vers 1775. — Ja prist-il Noples. — « Noples, dit G. Paris, n’est ni Constantinople, comme traduit Génin, ni Grenoble, comme l’a compris l’un des continuateurs du Faux Turpin. Cette ville, qui joue un