sumé complet, 38, 39. ═ Variantes et modifications de la légende, 39. ═ Le vrai héros de ce poëme, c’est Olivier, 72. ═ Le Fierabras incunable de 1478 est la même compilation poétique sur Charlemagne, qui prend plus tard le nom de Conquestes du grand Charlemaigne des Espaignes, 11, 14, etc.
FRANCE. Nation religieuse, militaire, naïve et chanteuse, la France était essentiellement épique, xiv, xv. ═ Dès le ixe siècle, tout au moins, la France peut être considérée comme une nationalité puissante, et capable de produire une Épopée, xiv, xv. ═ La France existait, la France était une et aimée il y a 800 ans tout autant qu’aujourd’hui, lxxvi. ═ Sens exact du mot « France » dans la Chanson de Roland, 54, 55. ═ Comment la littérature française a précédé toutes les autres, cxix et suiv.
FRANCO-ITALIENS (Romans). La Prise de Pampelune, l’Entrée en Espagne, l’Aspremont, le Roland (manuscrit iv, de Venise), etc., cxxxii, cxxxiii.
FUNÉRAILLES. Usage de laver les corps, 210.
G
GALIEN. Roman en prose, du xve siècle, formant la suite du Voyage à Jérusalem et à Constantinople, 36. ═ Notice bibliographique, cxiii, cxiv. ═ Résumé d’après le manuscrit B. L. F. 226 de l’Arsenal, 36. ═ Ce qu’on y trouve sur Olivier, 72, 73 ; sur le désastre de Roncevaux, 48, etc. ═ Galien passe dans la « Bibliothèque bleue », clvii. ═ Nous en citons un chapitre pour donner une idée et de la Bibliothèque bleue et des Romans en prose, cxviii, cxix.
GALLAND. Son Discours sur quelques anciens poëtes et sur quelques romans gaulois ( ?) peu connus. Il y parle de Girart d’Amiens et de sa compilation sur Charlemagne, dont il ne sait préciser ni le titre ni la valeur, clv.
GALLO-ROMAINS. Comment ils étaient incapables de créer une Épopée, au moment où s’est formée la nôtre, xxxi.
GALNE, ou GAILNE, GELNE. Ville inconnue entre Saragosse et les Pyrénées, 98, 100.
GANELON. Origine de ce nom, 81. ═ Notice complète sur Ganelon, 78-81 : 1° Sa généalogie, sa famille, 78, 79. 2° Sa vie et sa mort, 79-81. ═ Ganelon, considéré comme « le Traître » de notre Épopée. Ce n’est pas un portrait, ce n’est pas même un souvenir de Wenilo, archevêque de Sens, xxiv, xxv. ═ Il n’est pas vrai que le mot « Ganelon » dérive du mot francique gamalo (le vieux, le loup) ; réfutation de M. Hugo Meyer, xxix. ═ En résumé, Ganelon n’est point un type particulier, mais le type général du Traître, xxv.
GANT. Avec le bâton, le Gant est le signe spécial de l’investiture d’une charge, d’une fonction, 83, 84.
GARIN DE MONTGLANE. Résumé de cette Chanson, ou plutôt de ce Roman du commencement du xiiie siècle, 270. Cf., 113.
GASCONS. Ils sont les véritables auteurs de la catastrophe de Roncevaux en 778, et aussi de plusieurs autres surprises dont les Français ont également été les victimes (en 812 et en 824), et qu’on a confondues plus tard avec Roncevaux, xx, xxii, xxiii. ═ Comment et dans quelle mesure les Sarrasins ont pu être à Roncevaux les alliés des Gascons, xx.
GAUFREY. Résumé de cette Chanson du xiiie siècle, 271. ═ Généalogie de la race des Traîtres, 78. V. Ganelon.
GAULE POÉTIQUE. Œuvre de M. Marchangy (1815 et années suivantes). ═ Citation du « Chant funèbre en l’honneur de Roland », clxiii et suiv.
GAYDON. Chanson de geste du commencement du xiiie siècle. Résumé complet, 264, 265. Cf. 47.
GÉNIN (F.). Son édition et traduction de la Chanson de Roland (1850), clxxviii et suiv. ═ Son opinion sur la date de notre vieux poëme, lx ; sur le sens d’aoi, lix, etc. ═ Sa théorie des Couplets similaires ou répétitions épiques, lv, lvi.
GEOFFROI D’ANJOU. Notice sur ce personnage de Roland, 53, etc.
GÉOGRAPHIE de la CHANSON DE ROLAND. I. Note générale, divisée ainsi qu’il suit : 1° Positions occupées par les