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Page:Gautier - La Question des serpentins, paru dans La Science Française, 22 mai 1896.djvu/12

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Malheureusement — je dis « malheureusement » au point de vue spécial qui nous occupe — on encolle d’ordinaire le papier au moyen de savons résineux à base d’alumine, qui finissent par composer, avec la pâte à papier, une sorte de vernis à peu près totalement réfractaire à l’action de l’eau. Il est vrai de dire que de tous les modes d’encollage, c’est l’encollage aux résinâtes insolubles qui coûte le moins cher. Dans les usages ordinaires de la vie, on n’a guère l’occasion de s’en plaindre, mais quand il s’agit de serpentins, es otro cantar.