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— Saurais-tu te déguiser au point de n’être pas reconnu ? lui demanda-t-il.
— Au point que toi-même ne me reconnaîtrais pas, dit Faxibo.
— Eh bien ! demain matin, tu retourneras à Osaka et tu t’arrangeras de façon à savoir ce qui se passe au palais. D’ailleurs tu voyageras avec une femme.
Hiéyas se pencha à l’oreille de l’ancien palefrenier et lui parla bas.
Un mauvais sourire effleura les lèvres de Faxibo.
— Bien ! bien ! dit-il, demain au jour je serai prêt à partir.