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Page:Gautier - Lettre à la présidente, voyage en Italie. 1850.djvu/45

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indélicats, n’avoir jamais oublié que le latin, dans les mots, brave l’honnêteté, mais que la lectrice française ne veut pas être respectée.

Bientôt, je pourrai reprendre ma place au banquet dominical, et laisser la plume pour la langue (oh ! que n’est-elle fourrée) je ne serai pas difficile sur le choix du trou.


LE COCHON IMAGINAIRE
ou
LE SALOP SANS LE SAVOIR.


P. S. Présentez mes indécences les plus érectiles à Mlle Bébé-beuh ! euh ! et mes condoléances à la moelle épinière de Fernand, myéliteux(9) au troisième degré. Si ce papier n’était pas si frivole et si torcheculatif, je vous prierais de présenter mes saluts affectueux à Alfred(10) mais je n’ose déposer mes hommages le long de ce mur.


Rome, ce 19 Octobre 1850.