Page:Gautier - Mémoires d'un Éléphant blanc, Armand Colin et Cie, 1894.djvu/124

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

elle. Le danger était autre pour moi : avec une force extraordinaire, il resserrait peu à peu son étreinte autour de mes jambes, entravant mes mouvements, et, ce qui était plus grave, pressant mon cou de telle façon que le souffle me manquait.


LE SERPENT S’ENROULA À MON COU.

Impossible de l’atteindre avec mes défenses, il me tenait de trop près et j’étais vraiment dans une situation pénible.