Un gracieux pavillon à deux étages, un gymnase pour les enfants, des hémicycles de verdure avec des bancs de pierre, sont disséminés dans ce bois, qui aboutit à une petite porte donnant sur le parc de la résidence royale.
La cloche qui tinte nous rappelle vers la maison.
Le maître a fini sa tâche du matin, il nous montre sur sa table la page bien remplie.
Sa vie est-des plus régulières, surtout lorsqu’il poursuit, comme en ce moment, un travail pressé et fatigant ; à six heures, il se lève, mais après son bain se recouche et lit jusqu’à dix heures ; à onze heures, il se met au travail jusqu’à deux heures ; après le dîner il se repose un instant, toujours en compagnie d’un livre ; de quatre à six, il fait une promenade en voiture, puis se remet à l’ouvrage jusqu’au moment du souper, à huit heures ; la soirée se passe en famille très gaiement, et avant onze heures tout le monde est couché.