Page:Geoffroy - Napoléon et la conquête du monde, 1836.djvu/495

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On enleva Napoléon à ce spectacle. Sa douleur n’avait point de bornes ; lui si fier, si puissant, si haut sur la terre, il étouffait dans ses sanglots, il jetait des cris, il appelait sa fille, il la demandait à genoux. Il était père, enfin, cet homme !

Les peuples apprirent à quelques heures de distance et cette fête et cette mort, et parce que tout la terre se résumait dans le maître du monde, comme sa gloire et sa puissance, son deuil fut universel.