Page:Georges Feydeau - La dame de chez Maxim.djvu/355

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Gabrielle.

Ah ! comme tu voudras ! (À la Môme.) Eh ! bien, alors, viens dans ma chambre ; je te raconterai.

Petypon, voyant Gabrielle qui déjà remonte avec la Môme par la droite du canapé, essayant de s’interposer.

Mais non ! mais non !

Gabrielle.

Mais si, quoi ?… Je te laisse avec le général et j’emmène ma tante !… (Avec élan.) Viens, ma tante !… ma chère tante !

Petypon, les suivant.

Mais, voyons…

La Môme.

Oh ! ce qu’elle m’embête, ma nièce !

Elles sortent toutes deux par la gauche.
Petypon, qui a suivi jusqu’à la porte, redescendant extrême gauche.

Mon Dieu ! Il me semble que je navigue dans un rébus !

Tout en parlant, il a passé devant le canapé et s’assied sur le bras droit de ce dernier.
Le Général, riant encore de la scène qu’il vient de voir.

Ah ! c’est pas pour dire, mais elle est vraiment marteau avec sa manie de parenté !…

Petypon, riant sans conviction.

Oui !… Oui ! elle est un peu…

Le Général, allant vers Petypon.

Mais laissons cette échappée de cabanon…