Page:Georges Feydeau - La dame de chez Maxim.djvu/357

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que ! que je serais capable de t’avantager sur mon testament !

Petypon.

Non ?… Votre parole ?

Le Général.

Ma Parole !

Petypon, à part, tout en se levant.

Mon Dieu, et moi qui me donnais tout ce mal !… (Allant au général et bien lentement pour ménager son effet.) Eh bien ! mon oncle, soyez heureux !… Elle n’est pas ma femme !

Le Général, le regardant bien en face.

En vérité !

Petypon.

Non !

Le Général, avec un hochement de tête qui semble approbatif, puis.

Elle est bonne !

Petypon.

Comment ?

Le Général, comme au deuxième acte.

Elle est bonne ! Elle est bonne ! Elle est bonne !

Petypon.

Mais, mon oncle !…

Le Général, subitement pète-sec.

Ah ! assez, hein ? tu ne vas pas encore recommencer ! Si tu dois me la faire comme ça tous les deux jours… Ah ! non, non, ça ne prend plus !