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seul a travers l’atlantique


CHAPITRE VI

Dans les vents alizés.


e 6 juillet je découvrais donc qu’il me restait seulement 50 litres d’eau douce ; j’étais encore à 2.500 milles de New-York ; j’avais couvert en moyenne 50 milles par jour, de sorte que, même avec des vents favorables, il me faudrait au moins un mois pour finir mon voyage, et probablement beaucoup plus longtemps. En