renverſer. Attends donc, reprit-elle,
attens, mon ami, je veux te faire goûter
un plaiſir nouveau, je veux te foutre
à mon tour ! couche-toi comme je
l’étois tout-à-l’heure. Je me couchai
auſſi-tôt ſur le dos, elle monta ſur moi,
me prit elle-même le Vit, me le plaça,
& ſe mit à pouſſer. Je ne remuois
pas, je lui laiſſois tout faire, & je n’avois
d’autre fatigue que celle de recevoir
le plaiſir qu’elle me donnoit : je la
contemplois de tems en tems, elle interrompoit
ſon ouvrage pour m’accabler
de baiſers, ſes Tetons cedoient avec de
petites ſecouſſes au mouvement de ſon
corps, & venoient ſe repoſer ſur ma
bouche où je les ſuçois : une ſenſation
voluptueuſe m’avertit de l’aproche du
grand plaiſir, je joignis mes élancemens
à ceux de ma Fouteuſe, je déchargeai,
elle déchargea, & je me retrouvai tout
couvert du foutre dont elle m’avoit
inondé.
Excedé, briſé par l’exercice violent, par les aſſauts que j’avois livrés & reçus depuis près de deux heures, je me ſentis accablé par une envie de dormir à laquelle je cedai ſans reſiſtance. Madame Dinville me plaça elle-même la tête ſur ſon ſein, & voulut que je goû-