Page:Ghazels - Ferté.djvu/7

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Mon sein bat à me rompre l’âme — ô maudit — parce que ta main menteuse a brisé sans émoi la coupe limpide de mon cœur.

Mon regard est aride — ô maudit — parce que toutes mes larmes je les ai données pour former le ruisseau qui me noiera dans la plaine.