Page:Ghil - Œuvre, 1, 1, Le Meilleur Devenir, 1889.djvu/41

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

(ouïs ! ouïs aux nues et nues où
Tirent-ils d’aile immense qui vire d’heure, ou
de lamentation houle)

aléatoirement ailés de nuits doigtées
de nouveaux Advenus à l’altitude issant
agitent le destin d’angulaire montées :
                                vent et ventées.