Page:Ghil - Œuvre, 1, 1, Le Meilleur Devenir, 1889.djvu/42

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Ouïs ! ouïs aux nues haut et nues où
Tirent-ils d’aile immense qui vire…

                                   et quand vide
et vers les grands pétales dans l’air plus aride —

(et en le lourd venir grandi lent stridule et
Titille qui n’alentisse d’air qui dure, et !
grandie erratile et multiple d’éveils, stride
mixte, plainte et splendeur ! la plénitude aride)

et vers les grands pétales d’agitations
lors évanouissait un vol ardent qui stride…

(des saltigrades doux n’iront plus vers les mers…)