Page:Gibbon - Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain, traduction Guizot, tome 13.djvu/368

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
225. Guerre civile entre les factions des Cantacuzains et des Paléologue, 236. Victoire de Cantacuzène, 237. Il entre dans Constantinople, 240. Il marie sa fille à Jean Paléologue, 241. Il est couronné, ibid. Son règne, ibid. Il bat Paléologue sur mer et sur terre, 244. Il revêt son fils Matthieu Cantacuzène de la pourpre, ibid. Il abdique, 245. Il défend la lumière du mont Thabor, 246.
CARACALLA, fils de Septime-Sévère ; son ambition, I, 313. Est nommé empereur avec son frère Géta, après la mort de leur père, 314. Jalousie et haine des deux empereurs, 315. Leurs négociations pour diviser l’empire, 316. Il assassine Géta, 317. Ses remords et ses cruautés, 320. Sa tyrannie s’étend sur tout l’empire, 324. Prodigue les trésors à ses troupes, il encourage leur insolente familiarité, 326 et suiv. Il est assassiné, 328. Ses soldats forcent les sénateurs à le mettre au rang des dieux, 330. Passion de ce prince pour Alexandre, 332. Joie qu’excite sa mort, ibid.
CARAUSIUS. Sa révolte en Bretagne, II, 317. Son pouvoir, 319. Il est reconnu souverain de ce pays, 320. Sa mort, 322.
CARIN, empereur ; ses vices, II, 290 et suiv. Il célèbre des jeux à Rome, 298 et suiv. Discordes civiles ; sa défaite et sa mort, 303.
Carthage sort de sa cendre avec éclat, I, 151. Est surprise par les Vandales, VI, 230. Sa réduction par Bélisaire, VII, 337. Elle est conquise par les Arabes, X, 289.

CARUS, préfet du prétoire ; son caractère, son élévation, II, 283. Sentimens du sénat et du peuple à son avènement à l’empire, 284. Il défait les Sarmates et marche en Orient, 285. Donne audience aux ambassadeurs persans, 286. Ses victoires ; sa mort extraordinaire, 287. Ses deux fils lui succèdent, 289.
Catalans. Ils s’allient aux Génois, et sous le commandement de Roger de Flor, ils se rendent à Constantinople, XII, 200. L’empereur grec les envoie en Asie contre les Turcs, ibid. Roger de Flor est poignardé à Andrinople, 204. Dispersion de ces aventuriers, 205. Quinze cents d’entre eux se maintiennent à Gallipoli, ibid. Les Catalans triomphent des Grecs sur mer et sur terre, ibid. Ils cherchent à s’établir dans le cœur de la Grèce, 206. Ils s’emparent de l’Attique et de la Béotie, 209. Ils reconnaissent le roi de Sicile pour leur souverain, ibid.
Cénobites (les). Ces moines suivaient en communauté la même règle, VI, 484.
CÉSAR. Pourquoi son nom fut donné aux empereurs, I, 193.
Chalcédoine. Concile de cette ville, IX, 53. Ses décrets, 58.
CHARLEMAGNE. roi de France, fait la conquête de la Lombardie, IX, 308. Il est reçu à Rome avec tous les honneurs qu’on avait autrefois accordés à l’exarque, 313. Pendant vingt-six ans il gouverne en maître la ville de Rome, qu’il avait délivrée par ses armes, 314. Il examine et confirme l’élection des papes, ibid. Il transforme leur ancien patrimoine, consistant en maisons et en métairies, en une souveraineté temporelle sur des villes et des provinces, 315.