Page:Gilbert - Le Jubilé, suivie de deux autres ouvrages, 1776.djvu/12

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Ah ! que ces champs heureux où tous les cœurs vous suivent,
Où dans tous les esprits déjà vos bienfaits vivent,
À nos désirs bientôt vous rendent pour jamais :
S’ils possèdent la Sœur nécessaire à leur joie ;
Qu’au moins Paris revoie
Le Frère qui se doit au bonheur des Français.