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rable vérité comme dans un tombeau tranquille et essayer de ne plus espérer…
Mère, Mère, vous montez ? Restez avec moi : je suis toute seule. Ne me laissez pas toute seule. Ne voyez-vous pas que je suis une pauvre femme qui voudrait pleurer…
La solitude amère, formidable, qui étrangle les sanglots, m’engloutit comme des eaux féroces…
Oh ! Paix de l’âme, prix divin du sacrifice, doux refuge des affligés, venez à mon secours ! Soyez ma compagne pitoyable et fidèle…