Aller au contenu

Page:Girard - Études sur la poésie grecque, 1884.djvu/159

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
145
PINDARE

conclure, que, le jour où l’on verrait paraître en France une poésie lyrique à la fois ample et précise, éclatante et variée, concentrée et vivante, non seulement par le détail, mais par la continuité du souffle qui l’animerait, on y serait plus près de Pindare et on le comprendrait mieux.

10