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MARIE CALUMET.

not de grain.

D’un autre côté, les cagots de la paroisse et les marguilliers s’étaient faits les champions de monsieur le curé, et défendaient ses droits en montrant les dents comme des cerbères.

Puisqu’on ne semait plus qu’en foin, prétendaient-ils, ce n’était pas une raison pour user d’un subterfuge indigne, priver leur curé de ses revenus et le mettre dans le chemin.

Qui eût jamais songé ou même pu croire que la fautrice de cette discorde, de cette discussion dans le village d’ordinaire si paisible de Saint-Ildefonse ne fût autre que Marie Calumet ?

Et pourquoi pas ? N’y a-t-il pas eu des natures prédestinées depuis le commencement des siècles, chargées de rem-