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Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/220

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MARIE CALUMET.

linet à son rival, lorsque ce dernier, de sa main laissée libre, saisit son adversaire à un endroit plus bas que la ceinture, ce qui, naturellement est défendu par les règlements du marquis de Rosebery.

Narcisse, avec tout le désespoir de la rage et de la douleur, porta un coup de la gauche sur un œil du lâche. En roulant une seconde fois sur le dos, il vit trente-six chandelles. L’homme engagé ne lui laissa pas le temps de se remettre sur pied.

Il s’assit sur sa poitrine, en lui tenant les deux bras reployés et immobilisés.

Alors, tout essoufflé, il dit :

— En as-tu assez, cochon ?

— Oué, murmura l’autre faiblement.