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Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/327

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MARIE CALUMET.

une montre d’or dont on eut pu observer la marche des aiguilles d’un travers à l’autre du pays ; et que sais-je encore… tout ce pandémonium d’enseignes suspendues au-dessus de la tête des passants comme de traîtresses épées de Damoclès.

Soudain, Marie Calumet entendit le son du cor et le cri d’alarme partout répété de : Au feu ! Au feu ! Cinq minutes plus tard, elle voyait passer une pompe à incendie traînée par deux pompiers volontaires. En arrière, galopaient sept ou huit autres pompiers du même genre et quelques douzaines de curieux, pataugeant dans les saletés de la rue.

Les valeureux pompiers eurent bientôt expédié la besogne, cette fois, car