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Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/371

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MARIE CALUMET.

les remplacer et m’ donner à c’ brave garçon ?

Le curé Flavel ne trouvant pas son mouchoir, s’essuya les cils du revers de la main.

— Oui, mais qu’ost-ce que je vais devenir sans toi ?

— Ah ! laissez faire, m’sieu le curé, vous verrez comme tout ça s’amanchera ben.

— Eh ben ! puisqu’il le faut, soyez heureux, mes enfants, dit-il, en les poussant dans les bras l’un de l’autre. Embrassez-vous.

Au bedeau, qui entrait, Suzon dit malicieusement :

— Zéphirin, je te présente m’sieu et madame Boisvert.

— Ah !