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Page:Girardin - La Canne de M. de Balzac.djvu/222

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est plus long que cela… des hallucinations. Donc, il est décidé que j’ai des hallucinations. Bonsoir, maman.

En disant cela, Clarisse vint embrasser sa mère.

— Bonsoir, ma fille, répondit madame Blandais.

Et, poursuivant la plaisanterie.

— Si tu trouves ton beau jeune homme dans ta chambre, tu m’appelleras.

— Oui, maman.

Et Clarisse alla se coucher.


XXI

UN FANTÔME


— Voilà deux caractères inventés exprès pour ma canne, pensa Tancrède : une jeune fille rêveuse qui ne sait ce qu’elle fait, qui n’écoute rien, qui ne regarde pas où elle est,