zac, de sa canne, et puis de sa nouvelle conquête.
— Ce n’est pas toujours un malheur d’être beau, se disait-il, puisque… car enfin… cette femme ne me connaît pas, et si… eh bien ! c’est sur ma bonne mine.
Il se coucha et s’endormit. Au milieu de la nuit, il s’éveilla. Il était agité ; il ne pouvait s’expliquer ce qui le tourmentait. Il pensait, il pensait, il pensait vite et malgré lui.
À cette jolie femme qui voulait l’aimer ?
Non, ce n’était pas un rêve d’amour.
À madame Lennoix qui voulait l’épouser ?
Non, ce n’était pas non plus un cauchemar.
Il pensait, vous le dirai-je ?… à la canne de M. de Balzac.
Madame Lennoix, c’était un danger passé.
La jeune coquette, c’était une aventure dont le dénouement était prévu : il n’y avait là ni mystère ni merveilleux ; mais cette canne, cette énorme canne, cette monstrueuse canne, que de mystères elle devait renfermer ! elle pouvait même renfermer !
Quelle raison avait engagé M. de Balzac à se