Page:Giraud - Héros et Pierrots, 1898.djvu/39

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Des plaisirs neufs et fiers, au détour du chemin,
Implorent ta jeunesse en te léchant la main,
Lévriers bondissant à l’appel de leur maître.

Et voici qu’un désir étrange me pénètre :
C’est de redevenir, grâce à ta nouveauté,
Le pur et simple enfant que je n’ai pas été.