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Page:Giraudoux - Fontranges au Niagara.djvu/36

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FONTRANGES AU NIAGARA

ce corps dont il ne connaissait que le buste, satisfait quand la tête seule émergeait, et alors aussi tranquille que lorsqu’il voyait sur ses étangs le flotteur bien en place et sage. Il s’agissait seulement d’écarter cette tête des courants, des terribles courants. Il y arriva une ou deux fois, se servant de ses mains mêmes. C’était une tête sur les joues de laquelle s’étalait ce qui correspond pour les enfants à la barbe non rasée sur les joues des malades

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