Page:Giraudoux - Fontranges au Niagara.djvu/37

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
FONTRANGES AU NIAGARA

adultes, une pâleur double ou triple, une crème de mort. Une tête dont les yeux continuaient à ne pas s’ouvrir : Fontranges, habitué à ne regarder son prochain que dans les yeux se sentait regardé par tout ce petit corps aveugle et devenait contraint devant tant de curiosité.

Such a noise ! Such a noise ! répétait l’enfant comme un refrain entre chacune de ces phrases… Quel soulagement ne lui aurait pas apporté celui

25