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FONTRANGES AU NIAGARA

fois de l’attaque meurtrière, la lumière de la mort lui montrant tout ce que ces peuples avaient encore de mortel et de commun avec le gibier non sacré, et, parmi les Français mêmes, il ressentait moins de scrupule à voir tomber ses pairs que les ouvriers et les paysans : si bien que la seule mort qu’il admettait comme vraiment justifiée, était celle qui avait brisé sa vie, la mort de son fils, en un mot la sienne… Cet enfant là-haut dans son

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