Page:Giraudoux - Simon le pathétique.djvu/190

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182 BIION LI PATHÉTIQUI qui séparait d’Anne l’homme mal rasé qui gémissait là. Gontran me pardonna mes paroles, et m’en sut gré, mais j’humiliai et congédiai du même coup le Simon plus tendre peut-être et plus sensible, mais plus faible, mais changeant, qui en moi s’était agité...-Jamais l’autre n’alla mieux... Celui des frères siamois qu’on sauve vit cent ans. r e V I l «