Page:Giroust - Illyrine - t3.pdf/44

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poser, par le bien que je lui veux, à cette intimité qui le constituait en dépense et le plongeait dans la plus crapuleuse débauche, il prit de l’humeur ; il est impossible de vivre avec lui, tant il est détestable, difficultueux sur tout : je ne sais même pas si j’aurai le courage d’attendre que mon amant soit venu de sa mission pour me rendre à Paris.

Adieu, chère amie : écris-moi, console-moi ; que je suis malheureuse que tu ne sois pas à Paris ! Je vais écrire au président de l’assemblée nationale au sujet du divorce. Adieu, Lise, je te baise.

Ta Lili.