Page:Giroust - Illyrine - t3.pdf/80

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Tu dois Juger par ce portrait, chère amie, combien j’idolâtre cet aimable séducteur, puisque je regarde encore comme un bonheur pour moi d’être trompée par lui.

Adieu, ma tendre amie. Cette lettre est déjà de beaucoup trop longue. Donnes-moi de tes nouvelles ; elles seront toujours précieuses à ton amie,

Julie.