Page:Glatigny - Œuvres, Lemerre.djvu/265

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Peut-être lui dirai-je : « Adorable inhumaine,
Voyez ma passion ! »
Et je la nommerai, dans mes vers : Célimène,
Avec conviction.

III


En attendant ces jours de gloire, reste encore
Telle que je te vois,
Ô cher petit Rubens plein d’un rire sonore
Qui semble être ta voix !

J’ai promis d’obtenir avant demain ta grâce,
Et tu l’auras ce soir :
Ainsi ne pleure plus et viens que je t’embrasse ;
On ne peut pas nous voir !