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rais personne, et la glace de mon imagination resterait figée autour de mon cœur ? Je veux lutter pourtant.
« Adieu.
« Comtesse Sophie Tonska. »
La suscription de cette lettre portait :
À monsieur Casimir BULLET,
à Wilna.
Le lendemain, Sophie partit, laissant à M. de Gennevilliers un billet d’adieu, qui ne lui apprenait rien du tout et le plongea dans la consternation.