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Page:Gobineau - Mademoiselle Irnois - 1920.djvu/67

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— “Quand vous voudrez.”

— “Je vais donc passer sur le champ chez mon notaire et lui donner ordre de s’entendre avec le vôtre. Nous serons aisément d’accord. Vous n’avez pas d’autre héritier que la future comtesse Cabarot ? C’est très bien ! Adieu donc et à demain !”

— “Je voudrais, s’écria Irnois, quand le conseiller d’État ne fut plus à portée de l’entendre, que tous les diables pussent te tordre le cou dans la nuit !”