Page:Godwin - Vie et mémoires de Marie Wollstonecraft Godwin.djvu/114

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de vos embarras, (dit-elle dans une lettre particulière adressée à la même personne) et je ferai certainement tous mes efforts pour terminer, à votre satisfaction, les affaires que j’ai entreprises.

« Mon ami… Mon plus cher ami… Je sens ma destinée liée à la vôtre, par les liens les plus sacrés de mon âme et par les élancemens d’un… oui… je puis le dire… d’un cœur pur et sans détour ».

« Écrivez-moi par tous les courriers ; je suis inquiète de savoir comment vont vos affaires, et encore plus impatiente d’être convaincue que vous ne vous éloignez pas de nous ; car mon petit amour appelle papa, et y ajoute toujours cette invitation que lui souffle la nature… Viens, viens ! et vous ne