Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/146

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FROSCH.

Vous serez partis bien tard de Rippach ; avez-vous soupé cette nuit chez M. Jean[1] ?

MÉPHISTOPHÉLÈS.

Nous avons passé sa maison sans nous y arrêter. La dernière fois nous lui avions parlé ; il nous entretint long-tems de ses cousins, il nous chargea de leur dire bien des choses.

(Il s’incline vers Frosch.)
ALTMAYER, bas.

Te voilà dedans ! il entend son affaire !

SIEBEL.

C’est un gaillard avisé.

FROSCH.

Eh bien ! attends un peu : je saurai bien le prendre.

MÉPHISTOPHÉLÈS.

Si je ne me trompe, nous entendîmes

  1. Frosch semble faire cette demande pour mystifier les deux étrangers.