Des traces de la main industrieuse de l’homme au milieu de ces buissons ! Ce n’est pas toi qui as uni ces pierres, ô nature, si riche dans ton désordre !
Encore plus haut !
Une architrave couverte de mousse ! Je le reconnais, esprit créateur ! tu as imprimé ton cachet sur la pierre !
Monte toujours, étranger !
Voici que je marche sur une inscription… Et ne pouvoir la lire ! Vous n’êtes plus, ô paroles si profondément ciselées dans le marbre, et qui deviez rendre témoignage devant mille générations de la piété de votre auteur !
Tu t’étonnes, étranger, de voir ces pierres ; autour de ma chaumière, il y en a bien d’autres !
Là-haut ?
Sur la gauche ; en traversant les buissons…. Ici.
O muses ! ô grâces !
C’est ma chaumière.
Les débris d’un temple !
Et, plus bas, sur le côté, coule la source où je me désaltère.