Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome II.djvu/136

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ce en bas ?

Était-ce en haut ? Venez au secours, Où que ce puisse êtrel

Jéry, Bjetely, Le Père, ensemble. Vois-tu comme cela tourne mal, Ce que tu fis étourdiment Et follement ?

THOMAS.

Vite que de ces gens l’on rie ! Quand nous avons fini, Ils commencent !

Le Chœur, entrant en scène. Un bruit de meurtre et de bataille Est parti de ce lieu.

JÉRY, BiETELY, LE PÈRE, THOMAS.

Et l’amour et le mariage Se trouvent dans ce lieu.

LE Chœur, courant çà et là. Volez au secours, Où que ce puisse être !

JÉRY, B.ŒTELY, LE PÈRE, THOMAS.

Amis et voisins, silence 1… Tout est fini maintenant.

(La troupe s’apaise et se range des deux côtés du théâtre.)

M

Thomas, s avançant au milieu. Un quolibet !… qui veut l’entendre Écoute et tienne bon : Les sages sont tous bien loin, Mais le fou est sous la main. Je dis cela, bons voisins ; Je ne veux pas tout dire.

(Thomas prend un jeune garçon par la main, et l’amène sur le devant du théâtre ; il lui fait des caresses et chante : 1

Si jamais tu cherches femme, N’enfonce pas la porte du logis.

(Thomas continue et parle en prose au jeune garçon : )

Eh ! bien, qu’ai-je dit ?… Il te faut tout de suite l’apprendre par cœur.

LE JEUNE GARÇON.

N’allez pas, si vous cherchez femme, Enfoncer lourdement la porte du logis.