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SICKINGEN.
Permettez que je reste ici.
GŒTZ.
C’est à l’église que vous devez venir à présent.
SICKINGEN.
Volontiers… et après ?
GŒTZ.
Après, vous vous mettrez en route.
SICKINGEN.
Gœtz !
GŒTZ.
Ne voulez-vous pas venir à l’église ?
SICKINGEN.
Allons ! allons !
Le camp.
LE CAPITAINE, UN CAVALIER.
LE CAPITAINE.
Combien sont-ils en tout ?
LE CAVALIER.
Cent cinquante.
LE CAPITAINE.
De quatre cents ! Cela est dur. À présent marchons sans délai sur Jaxthausen, avant qu’il se remette et s’oppose encore à notre marche.
Jaxthausen.
GŒTZ, ÉLISABETH, MARIE, SICKINGEN.
GŒTZ.
Que Dieu vous bénisse, qu’il vous donne d’heureux jours, et, ceux qu’il vous retranchera, qu’il les garde pour vos enfants !
ÉLISABETH.
Et ces enfants, que Dieu en fasse d’honnêtes gens, tels que vous êtes : et puis laissez-les devenir ce qu’ils voudront !
SICKINGEN.
Je vous rends grâces, et à vous aussi, Marie. Je vous ai conduite à l’autel, à vous de me conduire au bonheur.