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Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome II.djvu/326

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une telle influence !… Jamais je ne l’aurais imaginé…. Et cet homme fait passer en moi son inquiétude…. Arrière !…. C’est dans mes veines une goutte, de sang étranger. Bonne nature, rejette-la ! Et, pour effacer de mon front les rides soucieuses, il est encore un doux moyen !



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