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Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome III.djvu/197

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George.

C’est vrai, Rose !… Parlez encore, monseigneur !

Le Seigneur.

J’ai tout dit. (Il fait avancer Schnaps.) Et n’est-ce pas déjà, beaucoup, que nous ayons pu rire un moment de cette cocarde, de ce bonnet et de cet habit, qui ont fait tant de mal dans le monde ?

Rose.

Oui, il a une bien drôle de mine M. Schnaps !

George.

Oui, bien ridicule !

Schnaps.

Il faut que j’en passe par là. (Il lorgne le laitage.) Si seulement, avant ma retraite, j’osais m’adjuger l’autre moitié de la contribution patriotique !

Rose.

Vous n’aurez pas cette satisfaction.