Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome IV.djvu/102

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lame. 0 vous, spectres antiques de secrets et noirs attentats, sortez de vos sépulcres, où vous vivez captifs. La dette fatale ne s’éteint pas. Levez-vous. Entourez de sombres nuages le trône qui est fondé sur des tombeaux. Que l’épouvante, comme un coup de tonnerre, traverse tous les cœurs ! Changez la joie en fureur ! Et que, devant les bras tendus pour la saisir, se brise l’espérance !