Aller au contenu

Page:Goethe - Le Renard, 1861, trad. Grenier.djvu/173

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

encore, et permettez-moi de le dire, à la cour de votre père, mon père était comblé d'honneurs et de dignités en qualité de médecin. Il savait interroger les urines du malade; il aidait la nature et il savait guérir toutes les maladies des yeux et celles des organes les plus nobles. Il connaissait les vertus de l'émétique; de plus, il était bon dentiste et arrachait les dents malades en se jouant. Je comprends